François Casta aumônier parachutiste
Itinéraire d'un curé de choc
19,00 €
Le récit de la vie mouvementée du père François, Joseph, Antoine Casta, qui se qualifiait lui-même de « pauvre curé », se situe aujourd’hui à contre-courant d’une époque où les sentiments exaltant le courage, le don de soi, l’amour de la patrie et les valeurs chrétiennes sont souvent moqués, ignorés ou bafoués.Pourtant, ce sont ceux-là qui ont guidé la vie de cet aumônier militaire parachutiste, d’origine corse, docteur en théologie, historien et philosophe qui a traversé tout un pan de l’histoire de notre pays. On le suit ici pas à pas, de la prime enfance à sa mort aux Invalides en passant par la Résistance, la Deuxième Guerre mondiale, celles d’Indochine et d’Algérie avant de le retrouver dans ses fonctions pastorales, qui l’amenèrent à bâtir deux églises dans l’île de Beauté où il exerça son ministère durant plus de trente ans.On découvre aussi que cet homme d’action, Grand-croix de la Légion d’honneur, titulaire d’une douzaine de citations, blessé à plusieurs reprises aux côtés des combattants qu’il secourait physiquement et spirituellement sur les théâtres d’opération où la France fut engagée jusqu’en 1962, était un penseur qui ne mâchait pas ses mots, comme en témoignent bien ses écrits et ses homélies.Homme de Dieu, homme de guerre, François Casta, pasteur d’exception, a laissé une empreinte toujours vive sous la protection de saint Michel dont il associa le culte à la saga parachutiste.
Fiche technique
Date de parution: 1 avril 2016
Disponibilité: Disponible
ISBN: 978-2-84621-228-1
Format: 15 x 23cm
Pagination: 1 pages
Né en 1938 à Paris, Jean-Baptiste Ferracci entame sa vie professionnelle comme reporter-photographe au journal l’Aurore, ce qui le conduit à être présent sur tous les grands événements qui, en 1958, bouleversent la vie politique française. Appelé sous les drapeaux en janvier 1959, au 1er BPC à Calvi, il rejoint l’Algérie en juin. En septembre 1959, il est affecté comme reporter militaire à l’hebdomadaire des forces armées : Bled. À ce titre, il parcourt l’Algérie, d’unité en unité et d’opération en opération, mais couvre aussi tous les événements agitant Alger. Libéré de son service militaire pendant le putsch des généraux, il réintègre la presse parisienne. Il retourne à Alger en mars 1962 pour couvrir le bouclage de Bab-el-oued et la fusillade de la rue d’Isly, et, en mai, l’exode des Français d’Algérie. Son premier livre, Images vécues de l’Algérie en guerre, a été couronné en 2008 par le prix du Cercle algérianiste.