Non à la France à la dérive
En finir avec la lâcheté et les reniements ordinaires
16,00 €
Nous vivons dans un monde « hyper connecté » complètement déconnecté. Un monde vide de sens. Quand on a besoin de politique, on a du spectacle, quand on a besoin de se serrer les coudes, on est divisé, quand on a besoin d’apprendre ou de s’informer, on est diverti ou leurré, quand on veut manger correctement, on est limite intoxiqué, quand on veut de la qualité, on récolte du toc, quand on donne son avis, on n’est pas entendu, quand on a besoin de soutien et de lien, on nous cantonne dans le virtuel, quand on veut gagner sa vie, on est précarisé... Quand on a besoin d’être rassuré, d’être protégé, d’être soigné, on est plongé dans la peur et la solitude. Toutes les sphères qui constituent notre société ont comme triste point commun la perte de leurs fonctions, de leurs rôles et de leurs finalités principales. Elles brillent par leur stupidité et leur inutilité en ne faisant plus ce pour quoi elles ont été initialement destinées. Bienvenue en Absurdie. On ne pourra pas indéfiniment supporter ces logiques froides et folles. On ne tolérera pas ce logiciel embarqué dans nos têtes qui nous incite à nous distancier de ce qui est clair, simple et humain. On ne tiendra pas si on laisse faire. En une quarantaine de rubriques incisives et argumentées (De la pensée sans réflexion, De la télévision sans culture, De l’école sans enseignement, De l’art contemporain sans art, De l’État sans pouvoirs, De la nourriture sans nutriments, Du pays sans paysans...), Nicolas Martin dénonce les manipulations dont nous sommes tous victimes. À cheval entre l’essai et le pamphlet, son livre, servi par un humour décapant, fait mouche, nous appelant à la prise de conscience et à la résistance.
Fiche technique
Date de parution: 17 mars 2022
Disponibilité: Disponible
ISBN: 978-2-84621-326-4
Format: 15 x 23cm
Pagination: 176 pages
À l’image de son patronyme, Nicolas Martin est un Français ordinaire, un anonyme. Ni écrivain, ni économiste, ni homme politique, il habite la campagne, joue de la clarinette et enseigne la musique aux enfants dans les écoles élémentaires. Son seul travail de création s’est limité jusqu’alors à l’embellissement de son jardin et à la composition musicale. En réaction aux nombreuses aberrations observées autour de lui, il a commencé à écrire.